dimanche 27 décembre 2020

ROD STEWART






EVERY PICTURE TELLS A STORY
1971
U.K.

MUSICIENS :
Rod Stewart – lead vocals, acoustic guitar
Ronnie Wood – guitar, pedal steel guitar, bass guitar
Sam Mitchell – slide guitar
Martin Quittenton – acoustic guitar
Pete Sears – piano, celeste
Micky Waller – drums
Danny Thompson – upright bass
Andy Pyle – bass guitar
Dick Powell – violin
Lindsay Raymond Jackson ("the mandolin player in Lindisfarne") – mandolin
Long John Baldry – vocals on "Every Picture Tells a Story"
Maggie Bell – "vocal abrasives" on "Every Picture Tells a Story"
Madeline Bell and friends – "vocal abrasives" on "Seems Like a Long Time"
Ian McLagan – Hammond organ, piano on "(I Know) I'm Losing You"
Kenney Jones – drums on "(I Know) I'm Losing You" (uncredited)
Ronnie Lane – bass guitar and backing vocals on "(I Know) I'm Losing You" (uncredited)

TITRES :
1. Every Picture Tells A Story
2. Seem Like A Long Time
3. That's All Right
4. Amazing Grace
5. Tomorrow Is A Long Time
6. Henry
7. Maggie May
8. Mandolin Wind
9. I'm Losing You
10. Reason To Believe

En 1971, à la surprise de presque tout le monde, Rod Stewart livrait "Every Picture Tells a Story", un album parfait qui figurerait encore plus de 40 ans plus tard très haut dans la liste des meilleurs albums de l'histoire du Rock. Un mélange absurdement réussi de soul, de country, de rock'n'roll et de... folk celtique, interprété par des musiciens d'exception qui, tout en donnant l'impression d'une rencontre fortuite entre potes autour d'une (non, de plusieurs) Guiness, transforment chaque chanson en une fête des sens, sans jamais en faire trop. Et surtout un festival vocal qui laisse encore l'auditeur d'abord ébahi, puis rapidement conquis par ce déluge de sensations et de sentiments. Ici, l'excellence paraît facile, chaque musicien, chaque choriste y allant de sa petite démonstration sans que ça vire pour autant à l'exhibition gratuite (il est d'ailleurs passionnant de voir combien la guitare de Ronnie Wood fait des merveilles, alors qu'il est si peu intéressant au sein des Stones !). Chaque chanson de ce patchwork pour fêtards paraît meilleure, plus pertinente encore que la précédente, mais c'est le grand huit des émotions qui nous enivre vraiment (Pokespagne)



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