JOHN PRINE
1971
U.S.
MUSICIENS :
John Prine – vocals and acoustic guitar
Reggie Young – lead guitar
Leo LeBlanc – pedal steel guitar
John Christopher – rhythm guitar
Bobby Emmons – organ
Bobby Wood – pianos
Mike Leach – bass
Gene Chrisman – drums
Heywood Bishop (incorrectly credited on the album as "Bishop Heywood") – percussion
On "Paradise":
John Prine – lead vocal and acoustic guitar
Steve Goodman – harmony vocal and acoustic guitar
Dave Prine – fiddle
Neil Rosengarden – bass
On "Flashback Blues":
John Prine – vocal and acoustic guitar
Steve Goodman – acoustic guitar
Noel Gilbert – fiddle
Mike Leach – bass
Heywood Bishop – drums
Gene Chrisman – tambourine
TITRES :
2. Spanish Pipedream.
3. Hello in There.
4. Sam Stone.
5. Paradise.
6. Pretty Good.
7. Your Flag Decal Won't Get You Into Heaven Anymore.
8. Far from Me.
9. Angel from Montgomery.
10. Quiet Man.
11. Donald and Lydia.
12. Six O'Clock News.
13. Flashback Blues.
Né dans l’Illinois, cet auteur-compositeur-interprète de première force, songwriter précoce (dès 14 ans), habité par une fibre poétique hors norme, est la cible privilégiée des plus grands artistes U.S qui, dès lors qu’il s’agit de briller ou de se relancer, s’approprient son riche répertoire. Ainsi, Johnny Cash et Al Cooper (Naked Songs/1973) mettent la main sur Sam Stone, référence directe à l’addiction aux drogues d’un vétéran et où le Vietnam apparaît en filigrane. Joan Baez (Diamonds & Rust/1975) et Bette Midler lui empruntent son Hello In There traitant du vieillissement et de la solitude qui l’accompagne, tandis que Bonnie Raitt, Carly Simon et Susan Tedeschi jettent leur dévolu sur Angel From Montgomery au thème quasi similaire quand Jimmy Buffett reprend à son compte It’s A Goofy Old World, microcosme de la vision du monde de Prine. Plus près de nous, en 2007, Robert Plant et Alison Krauss (Raising Sand) remettent à l’honneur son Killing The Blues. Prine ne laisse pas indifférent dans le milieu.
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