mardi 8 juin 2021

DRAGON

 




UNIVERSAL RADIO
1974
NEW ZEALAND

MUSICIENS :

Marc Hunter - lead vocals, percussion
Ray Goodwin - lead guitar, vocals
Ivan Thompson - organ, piano, Moog synthesizer
Todd Hunter - bass, flute (09), vocals
Neil Storey - drums

With:
Graeme Collins - piano (08) 
Herb Mann - lead guitar (09)


TITRES :

1. Universal Radio 
2. Going Slow 
3. Patina
4. Weetbix 
5. Graves
6. Avalanche

Bonus:
7. Black Magic Woman (unreleased live) 
8. X-Ray Creature (single A-side of Marc Hunter,1973)
9. Dinghy Days (single B-side of Marc Hunter,1973) 
Universal Radio est le premier album du groupe néo-zélandais Dragon sorti en 1974,  produit par Rick Shadwell. Cet album, ainsi que leur deuxième album Scented Gardens for the Blind sont du genre rock progressif , tous les albums suivants sont du hard rock / pop rock . 
Le 2 juillet 2009, Aztec Music a réédité Universal Radio avec de nombreuses notes, des photos rares et trois morceaux bonus. Le premier morceau bonus est un enregistrement live de 1974 de leur reprise de " Black Magic Woman " de Fleetwood Mac , tandis que les deux derniers, " X-Ray Creature " et " Dinghy Days " sont la face A et la face B du premier single solo de Marc Hunter sorti en 1973.




lundi 7 juin 2021

PETER FRAMPTON

 




WIND OF CHANGE
1972
U.K.

MUSICIENS :
Peter Frampton - guitars, organ, dulcimer, drums (2), harmonium, percussion (6,7,8,10), vocals
Ricky Wills - bass (1,5,7)
Mick Gallagher - piano, clavinet, electric piano, hammond organ, organ, hammond B-3, synthesizer, moog synthesizer, fender rhodes, harpsichord, keyboards
Mike Kellie - drums (1,4,5,7)
Del Newman - strings (1,6,9), flute & marimba arrangement (1)
Andrew Bown - bass (2,3,4,8,9), fuzz bass (2), organ (3), backing vocals (4,10), mellotron (7), percussion (7,10), electric piano (9)
Frank Carillo - guitars (2,4,5,8,10), backing vocals (3,10), percussion (10)
Chris Karen - congas (3)
Frank Ricotti - shaker (3)
Mickey Jones - rhythm guitar (7)
Ringo Starr - drums (8,10)
Jim Price - brass (8)
Klaus Voorman - bass (10)
Billy Preston - piano (10), organ (10)

TITRES :
1. Fig Tree Bay
2. Wind Of Change
3. Lady Lieright
4. Jumping Jack Flash
5. It's A Plain Shame
6. Oh For Another Day
7. All I Want Be (Is By Your Side)
8. The Lodger
9. Hard
10. Alright
Premier album solo de Peter Frampton après son départ d'Humble Pie
Tout en livrant beaucoup de mélodies pour accompagner ses solos de guitare d'une façon que son ancien groupe avait abandonnée, l'album est assez agréable à entendre mais sans sonner comme quelque chose de spécial. Son chant est adéquat mais indistinct. Pour paraphraser un critique de rock de Rolling Stone, "Frampton avait peu à dire mais une jolie façon de le dire".
Mais quelles que soient les lacunes de Frampton en tant que parolier, il les compense avec ses compositions musicales, son talent pour écrire des morceaux accrocheurs et son travail d'arrangeur. En plus de produire l'album, Frampton a recruté Billy Preston ,Ringo Starr et Klaus Voorman





mercredi 2 juin 2021

YES

 




CLOSE TO THE EDGE
1972
U.K.

MUSICIENS :

Jon Anderson - lead vocals
Steve Howe - guitars (12-string, electric, acoustic, Portuguese, console steel), electric sitar, vocals
Rick Wakeman - Hammond, Mellotron, Minimoog, grand piano, RMI Electra-Piano, electric harpsichord, pipe organ at St Giles-without-Cripplegate church in London (1)
Chris Squire - bass, vocals
Bill Bruford - drums, percussion


TITRES :

1. Close to the Edge
- i. The Solid Time of Change
- ii. Total Mass Retain
- iii. I Get Up I Get Down
- iv. Seasons of Man
2. And You and I
- i. Cord of Life
- ii. Eclipse
- iii. The Preacher, the Teacher
- iv. Apocalypse
3. Siberian Khatru
Sans dérouler quelques concepts philosophiques à la petite semaine, on peut néanmoins considérer que si Close to the Edge reste comme l’un des plus grands albums de l’histoire du rock progressif (et, prenons des risques, comme le meilleur album du groupe), c’est qu’il a été enregistré dans la douleur, et la pression
En 1972, Yes vient en effet d’éditer un disque qui a enfin rencontré le succès (Fragile), et, bien que sur une pente ascensionnelle, est donc condamné à faire au moins aussi bien. De plus, le claviériste Rick Wakeman, initialement engagé pour ses compétences techniques et musicales, s’attachent au fil des mois à de plus en plus intervenir dans les options esthétiques du groupe. Enfin, Bill Bruford (dont la batterie – sans nul doute la plus inventive de sa génération dans la scène mondiale de ce genre musical – a énormément fait pour l’essor musical de Yes) supporte de moins en moins les prétentions mystico-littéraires de Jon Anderson.
Il faut donc simplement trois pièces à Yes (dont le morceau-titre) pour écrire la page la plus tourmentée, raffinée, élaborée, construite, et lyrique de son histoire. La suite qui occupe l’ensemble d’une face de l’édition originale constitue également, dans sa perfection formelle, un absolu point de non-retour dans l’histoire du groupe. Close to the Edge, nourri du parcours de Yes depuis sa création, de ses errements et de ses triomphes, est un authentique chef d’œuvre, mais il induit également la fin d’une époque en son sein. L’album atteindra la troisième position des charts. (Music Story)