Catharsis est un groupe de rock psychédélique progressif français des années 1970.
La musique de Catharsis est fortement influencée par celle de la période post-psychédélique de Pink Floyd et dont l'album Ummagumma est caractéristique.
Michael Chapman - Vocals, Guirar, Piano Barry Morgan - Drums Congas Rick Kemp - Bass Mick Ronson - Guitar Gus Dudgeon - Scraper Paul Buckmaster - Cello Johnny Van derek - Violin
TITRES :
1. The Aviator 2. Naked Ladies And Electric Ragtime 3. Stranger In The Room 4. Postcards Of Scarborough 5. Fishbeard Sunset 6. Soulful Lady 7. Rabbit Hills 8. March Rain 9. Kodak Ghosts 10.Andru's Easy Rider 11.Trinkets And Rings
Avec "Fully Qualified Survivor" (1970), on reste stupéfait par la maitrise instrumentale de la guitare, hargneuse et aventureuse. Chapman crée des climats et des ambiances très variés d'une richesse sonore surprenante à chaque fois. Son chant rappelle souvent celui du Bowie de l'album "TheMan who sold the world" (1970).
Michael Chapman est accompagné sur cet album par Mick Ronson (guitare) et Rick Kemp (Steeleye Span) (guitare basse). On est loin ici du folk anglais très orienté vers la tradition celtique..
Le groupe a investi beaucoup de temps et d'argent dans leur troisième album , "Outside The Law" ( 1974 ) , et vise à une percée internationale .
Sur cet album , McGillivray a été remplacé par Achim Wielert ( batterie, percussions ) . Le groupe a un peu abandonné les éléments rocks progressifs pour un style plus heavy rock .
10 Love Is More Than Words Or Better Late Than Never
11 Nice To Be
12 Car Lights On In The Day Time Blues
13 Run To The Top
14 Willow Willow
15 Instra-Mental
16 You Are Something
17 Gather Round
Out Here est vraiment méconnu, et c'est dommage. Contenant 17 titres dont
deux de plus de 10 minutes (Doggone en dure 12, et Love Is More Than Words
Or Better Late Than Never, sous son titre à rallonge, en dure 11), Out
Here est un exemple parfait de folk-rock psychédélique, joué par un groupe
dont seul Arthur Lee reste comme membre initial.
No Other voit le jour à la fin de l'année 1974. Et encore une fois, il est à contre-courant de l'époque. Là où il est de bon ton de chanter la douce vie des zicos californiens au soleil, Clark se livre à un effrayant chant d'affliction. Si l'ouverture, Life's Greatest Fool, est assez conventionnelle avec son country-rock gospellisant, les promesses d'un ciel chargé sont dèja posées. Les paroles ne laissent pas beaucoup de place à la rigolade (Do you believe when you're all alone/You held the key to your destiny gone/Do you believe deep in your soul/That too much loneliness makes you grow old).
Patrick Audouin - Grand piano synthesizers, acoustic guitar, vocals
Patrick Droguet - acoustic & electric guitars, triangle
Michel Munoz - drums,
Gérard Duchemann - lead vocals, synthesizers,
Jacquy Thomas -bass, string-ensemble, vocals
Michel Santangelli - drums (10-12)
Hugues De Courson - rototoms, crumhorn
Robert Le Gall - violin
Alain Hergouarch - tambourine
Emmanuelle Parrenin - triangle, vocals
Jo Courtin - accordion
Pierre Holassian - Alto saxophone
Bruno Menny - sound effects
TITRES :
1. Fils de la Lune
2. Le Jardin des Plaisirs
3. Il n'y a plus Rien
4. Satane Jardin
5. La Veuve de Nicole
6. Le Sabbat des Sorts
7. Les Loups
8. La Vielle que l'on Brula
9. Epilogue
bonus tracks:
10. Ah! Faut Profiter
11. Gratis et en Plein Air
12. Les Chameaux
Si ce ne fut pas un succès commercial, leur musique est définitivement axée époque médiévale, racontant l'histoire d'une femme brûlée pour sorcellerie (familier à l'époque).
La musique peut vous rappeler Gryphon ou Gentle Giant. Recommandé pour un vrai bon moment et si vous cherchez quelque chose de tout à fait différent de votre prog ordinaire.
C'est un power trio, qui va exploser en popularité au début des années 70, au point de vendre un album toutes les cinq secondes pendant deux ans avant de retomber très vite - trop vite - dans l'oubli. Durant leur carrière, ils furent décriés par la critique, qui ne voyaient en eux que des tâcherons qui tournaient pour le fric. Des jugement hâtifs particulièrement cruels pour cette formation qui s'applique pourtant à délivrer un heavy-rock sauvage qui ira jusqu'à influencer l'écurie stoner dans les années 80.
Le groupe Anglais Nite People venu de Southampton nous propose un très bon rock progressif. Entre des touches d’orgue et de saxophone, l’album « P.M » prend légèrement de l’ampleur dans le jazzy. Le disque en lui même respire la chaleur que se soit au niveau vocal ou musical. Ensuite, des titres comme « Delilah » ou « North Canadian Paradise » sont de rééls chefs d’oeuvres musiquaux. Tout y est : la technique, l’émotion, les sons cleans et saturés! De vraies réussites musicales