"Think" était un groupe néo-zélandais qui n'a enregistré qu'un seul album intitulé "We'll Give You A Buzz" en 1976.
La musique sur ce disque sonne tout à fait comme le art-rock britannique du début des années 70. En écoutant cet album, vous pouvez immédiatement penser à des groupes tels que "Cressida", "Spring", "Fantasy", "Badger", "Mainhorse" ou "Yes". Tout comme ces groupes, "Think" joue un prog-rock très mélodique, plein de sons Hammond qui créent cette atmosphère classique des années 70.
13. Oui Tu Es Mon Ami (Sweet City Woman) (single A-side,1971)
14. Sweet City Woman (instrumental)
Lorsque le premier single de l’album, «Carry Me», a attiré l’attention des programmeurs de radio et du public, la pression était de continuer avec quelque chose de tout aussi bon.
«Après la sortie de« Carry Me », notre distributeur voulait que le deuxième single qui est le même succès», explique Dodson. "Nous savions que nous voulions que ce soit " Sweet City Woman ", mais le label n'était pas très chaud à propos de sa sortie à cause du banjo."
«J'avais écrit cette partie à l'origine avec une ligne de guitare», dit-il. «Nous enregistrions l'album aux Toronto Sound Studios et un jour, en chemin, j'ai loué un banjo parce que je pensais que ça sonnerait bien"
Leur enregistrement de « Carry Me » de Dodson pour MWC (Music World Creations, fondée par le gérant du groupe Mel Shaw) fut un succès canadien important en 1971 et fut suivi, la même année, de « Sweet City Woman », autre chanson de Dodson, qui connut un succès international. Ces succès valurent aux Stampeders le Juno Award 1971 du groupe vocal et instrumental de l'année. Même si le succès de « Sweet City Woman » classait les Stampeders dans une veine pop, ils puisent leurs véritables racines dans le rock classique.
Le 45t. « Wild Eyes » fut le premier à refléter exactement ce style.
- David Gilmour - guitars, bass (1), harmonica (5), lead (2,3,5,6) & harmony (3) vocals
- Richard Wright - Hammond, Farfisa, piano, lead vocals (6)
- Roger Waters - bass, acoustic guitar (4), lead vocals (4)
- Nick Mason - drums, percussion, voice (1)
TITRES :
1. One Of These Days
2. A Pillow Of Wind
3. Fearless
4. San Tropez
5. Seamus
6. Echoes
Début janvier 1971, les musiciens de Pink Floyd se réunissent à Abbey Road pour commencer à concevoir le successeur d'Atom Heart Mother. Le premier résultat de ces séances de travail sera une première mouture de «Echoes», baptisée «Nothing, Parts 1-36».
Comme cet intitulé provisoire le laisse deviner, il s'agit d'une mise bout à bout de divers fragments issus d'improvisations collectives, le point de départ étant une note de piano accidentelle de Wright, que Waters aura l'idée lumineuse de transformer grâce à une cabine Leslie d'orgue Hammond. Une fois l'architecture instrumentale de l'ensemble posée, le texte connaîtra plusieurs incarnations successives, le thème général glissant d'une histoire de science-fiction à une odyssée sous-marine. Après avoir été joué sur scène sous le titre de «Return Of The Son Of Nothing» (!), le morceau ne trouvera son intitulé définitif qu'en septembre 1971. (RTBF)
- David Gilmour - guitars and bass, drums & vocals (4)
- Richard Wright - keyboards (Hammond M102), vocals (3)
- Roger Waters - bass and vocals & acoustic guitar (2), tape, Fx
- Nick Mason - drums, percussion, tape
With:
- Philip Jones Brass Ensemble - brass (1,3)
- Ron Geesin - orchestrations (1)
- John Alldis Choir - chorus vocals (1)
- Alan Styles- spoken word & Fx (5)
- Haflidi Hallgrimsson - cello (uncredited)
- Alan Parsons - engineer
TITRES :
1. Atom Heart Mother
- a) Father's Shout
- b) Breast Milky
- c) Mother Fore
- d) Funky Dung
- e) Mind Your Throats Please
- f) Remergence
2. If
3. Summer '68
4. Fat Old Sun
5. Alan's Psychedelic Breakfast
- a) Rise And Shine
- b) Sunny Side Up
- c) Morning Glory
En ce début d'année 1970, le Pink Floyd est un groupe presque arrivé. Les musiciens ont désormais les moyens de leurs ambitions et sont à même d'offrir, sur scène comme sur vinyle, les idées les plus étranges qui germent dans leurs esprits. Mais il leur manque encore cet énorme succès que chacun sent à leur portée, en particulier leur maison de disques qui les pousse à sans cesse aller de l'avant.
Cette reconnaissance, Pink Floyd sent qu'elle ne pourra venir que d'une œuvre assez ambitieuse et novatrice pour marquer les esprits. C'est ainsi que, dans la foulée des séances de Zabriskie Point, le groupe s'attèle à l'écriture d'une longue composition épique qu'il va présenter le 18 janvier 1970 lors d'un concert au Fairfield Hall de Croydon (banlieue de Londres) sous le titre de «The Amazing Pudding». Quelques jours plus tard, Pink Floyd se produit pour deux soirs au Théâtre des Champs-Elysées à Paris, concerts qui entérineront rhistoire d'amour durable entre le groupe et la France (concrétisée l'été suivant par des apparitions dans divers festivals), et dont le premier sera diffusé à la radio et fera logiquement l'objet d'une large diffusion pirate. Au programme, outre la nouvelle pièce de résistance, un morceau intitulé provisoirement «The Violent Sequence», première mouture de ce qui deviendra trois ans plus tard «Us And Them». (RTBF)
Stevie Wonder – uncredited clavinet on "Thelonius"
TITRES :
1. You Know What I Mean
2. She's A Woman
3. Constipated Duck
4. Air Blower
5. Scatterbrain
6. Cause We've Ended As Lovers
7. Thelonius
8. Freeway Jam
9. Diamond Dust
Dans Blow By Blow (produit par George Martin) , s'il s'agit encore de fusion et de jazz, il ne s'agit plus d'un travail collectif (mais le père Middleton est encore présent aux claviers). L'oeuvre est complètement individuelle et sortie sous le patronyme de Jeff Beck. Toujours à la pointe de l'originalité et pour se démarquer (ce sale gosse avait un égo surdimensionné, qui l'a sans doute pénalisé dans une carrière qui, compte tenu de son talent, aurait du être autre), Beck nous la joue instrumental.(jean claude)
Billy Lyall - Keyboards, Synthesizers, Piano and Backing vocals
Stuart Tosh - Drums and Backing vocals
With:
Ian Bairnson - Electric guitar ("Magic" and "High Into the Sky")
Nick Heath - Backing vocals
David Mason - Trumpet
TITRES :
1. Just a Smile
2. Magic
3. Lucky for Some
4. Girl Next Door
5. Lovely Lady Smile
6. Sooner or Later
7. Don't Speak Loudly
8. Over the Moon
9. Never Give Up
10. High Into the Sky
11. Auntie Iris
12. Sky Blue
Bonus:
13. Pamela (as Scotch Mist)
14. Magic (original version)
15. Just Let Me Be
16. Auntie Iris
Ce groupe formé en 1973 en Ecosse, sort ce premier album l'année suivante et il regorge de superbes arrangements pop / power pop.
En plus de l'énorme single "Magic" il y a une multitude de morceaux remarquables -
le titre en ouverture de l'album "Just A Smile'' a des ambiances très mélodieuses pop rock alors que le titre "Don't Speak Loudly'' prend une direction plus rock.
La charmante et entrainante «Girl Next Door» fonctionne parfaitement ainsi que la ballade avec clavier «Over The Moon»
Le groupe reproduit les défauts du premier album, et hormis le cachet de l’époque, et une certaine chaleur propre au hard rock des années 70, des titres comme « Nasty Sadie », « Tried To Show You » ou le saccadé « I’m Lost » – avec son entame furieuse – n’accrochent pas franchement l’oreille. Plus ambitieux, « Dreams Of Egypt » lorgne quant à lui assez ouvertement du côté de Led Zeppelin, mais on n’est guère plus convaincu, la faute encore une fois à une ligne mélodique qui nous échappe, cette fois sous une certaine forme de complexité (HardRock80)
Contrairement à ce que beaucoup doivent croire, Y & T n'est pas né avec Earthshaker en 1981. Du moins, pas tout à fait puisque deux premiers albums totalement méconnus et donc oubliés, avaient déjà permis aux Californiens de façonner leur Hard-Rock ensoleillé.
Yesterday And Today révèle déjà toutes les qualités auxquelles le quatuor reste attaché, et à défaut d'être aussi imparable que le sera la légendaire triplette Earthshaker/Black Tiger/Meanstreak, demeure un premier jet particulièrement convaincant, dont quelques titres un peu plus faibles ("Alcohol"...) ne suffisent pas à tempérer l'évident potentiel de ses auteurs.(musicwaves)